Franck Smallt
Le pouvoir des mots
Mon Malheur Fut Mes Douleurs
Vers le chemin de la liberté
Marchant vers la digue où le vent souvent murmurait
Tout plein de choses plus extravagantes les unes que les autres je restais bouche bée
Déjà le vent Murmurait me semble-t-il abusait mais si en plus il fayotait juste imaginez
Coïncidence , non juste Une légère déficience qui je crois est restée
Le vent me parait et moi grand fou je répondais
Au loin on apercevait deux amis discuter
Moi et le vent nous nous sommes demandé si on les connaissait
Le vent formel m'ôta le doute et la conversation ne pouvait que continuer
Une fois fini le vent me dit
Aurevoir mon ami et partit
Je n'avais rien compris
Suis-je fou ou maudit ?
L'histoire n'est strictement pas finie
Apres le vent vint la pluie
On peut dire que ma journée était pour l'instant bien remplie
La pluie soudain me dit "que fais tu la mon ami"
Moi avec un air surpris , seuls quelques mots sortirent
"Vous dites mon ami mais pouvez vous vraiment affirmer qu'on se connait ? "
La pluie rit et n'eut pour seule idée de se moquer
D'un air vexé je suis parti loin pour me réfugier
Une fois parti je me suis dit
Seul un fou peut parler à la pluie
Et c'est la que je me dis et puis tant pis
Suis-je fou ou maudit
Je songé a ce que j'avais vécu
Je ne trouvais pas de mots pour ça
Juste une petite idée inconnue
Toujours tout droit vers moi je me demandais pourquoi
Je compris ce qui m'était arrivé
Peu de temps après
Suis-je fou ou maudit
Non juste je m'étais assoupis
Déjà tout jeune , mes amis et moi y croyaient déjà
Même si nos parents nous disaient le contraire que ça excitait pas
Moi et mes vieux compères pourtant y croyaient dur comme pierre
Mais tant que chez nos parents nous vivions nous devions écouter et nous taire
Quand les années passèrent J'en eu marre de me taire
La seule chose qui me resta à faire était celle de préparer mes affaires
De partir loin de mon père et de ma mère
Le 18 septembre je partis pour l'aventure en laissànt derrière moi que des souvenirs
Partir vers l'inconnu peut paraitre farfelu
Mais si c'est que pour la vue
On peut dire que pour moi c'est pas le cas
Juste partir pour ne plus subir , partir pour renaitre a un autre endroit
Je ne peux pas dire ce qui va m'arriver
Mais je sais qu'on n'est pas près de revenir
Maman ce n'est rien contre toi mais juste papa qui n'arrête pas de crier
Marre de te voir souffrir ou pleurer ou bien même te faire frapper
Je te promets que plus tard je reviendrai
Une fois grand, je le ferai regretter pour ce qu il nous a fait
Mais j'espère que tu pourras comprendre que j'ai besoin de partir
Je sais bien que tu pourras pas lire ce que j'écris mais chaque nuit pour toi je prie
Le soir ç a me hante de t'avoir laissé avec lui seule
Mais je sais que tu arriveras je ne m'inquiète pas, j'espère juste qu'il ira vite dans le cercueil
Tu méritais tellement mieux que lui, pour moi tu as fait ce choix je le sais t'inquiète pas tu éprouveras un jour du bonheur
Mais un beau jour nous rirons ensembles de nos malheurs qui a l'époque nous perforaient le coeur
Les années passèrent, Il était tant pour moi d'aller voir ma mère
Une fois sur le seuil de la maison je vis mon père a coté de la cuisinière
J'eu beau chercher partout mais aucun signe de ma mère
La porte s'ouvrit et mon père me dit "Déjà 5ans qu elle est partie"
Mon souffle se coupa , mes mains tremblaient et mes larmes coulèrent
Mon père comprit ferma la porte et s'assis, en face de moi il y avait la plante qu'avait planté ma mère
Je pris la route du cimetière pour lui rendre une dernière prière pour qu elle puisse quitter cette terre
Sur sa tombe il y avait marqué " Mon fils sache que je n'ai jamais arrêté de t'aimer ta mère qui t aime et qui n'a jamais douté "
Le bouquet de roses tomba de mes mains
En regardant vers la tombe de ma mère je vis sont esprit qui prit
ma main
Elle me dit avec une voix douce et frêle " Maintenant que je t'ai vu je peux partir en laissant sur terre mes malheurs"
L'esprit disparut dans la brume me laissant seul devant la tombe sombre sans couleur
Mon bonheur se changea en malheur
Puis mon malheur fut mes douleur
© 2015 by Florent carbone. Proudly created with Wix.com